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Site officiel d'un court-métrage français mort né : Bye Bye Bloody Mary

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Site officiel d'un court-métrage français mort né : Bye Bye Bloody Mary

Site officiel dun court-métrage français mort né  Bye Bye Bloody Mary Un nouveau site sur un court-métrage français gothique, qu'on pourrait qualifier de mort né, a ouvert les portes de son cimetière à l'adresse http://www.bloodymary-lefilm.com

En effet, c'est bien connu qu'en France, il est très difficile de trouver le financement pour un film de genre, surtout lorsqu'on est jeune réalisateur désireux de se lancer dans ce cinéma là, considéré à tort dans notre pays. Pourtant, ce projet ambitieux (le budget est d'environ 100 000 euros) produit par la jeune société Black Box Production (http://www.bbox-prod.com) et écrit et réalisé par Thierry Lorenzi, s'intitulant BYE BYE BLOODY MARY avait su fédérer autour de lui. Certaines grosses boites de productions françaises, ainsi que des chaînes TV du satellite avaient répondu présentes. L'équipe technique était composée de Guy Claude François (Le Pacte des Loups) à la décoration, Benoît Debie (Calvaire) à la photographie, Jacques Olivier Molon et David Scherer aux maquillages d'effets spéciaux. Le casting pouvait se féliciter de la présence d'une des plus belles trognes du cinéma français, Jo Prestia (Irréversible, Calvaire, 36 Quai des Orfèvres) et pour lui donner la réplique Didier Nobletz, Serge Chambon (vus tous deux dans 13 Tzameti) ainsi qu'une inconnue, mais parmi les plus beaux visages du monde, Gabrielle Veislinger (Fantasmagoria, précedent film de Thierry Lorenzi) pour interpréter la sensualité interdite, le plus beau des zombies. Le film avait même pris une petite ampleur internationale quand Olof Morck et Elias Homlid, du groupe de Métal Mélodique suédois DRAGONLAND ont accepté de signer la musique du film.

BYE BYE BLOODY MARY se voulait être une tragédie macabre et gothique sur le thème de la vengeance et l'auto justice. Sans doute, le traitement du thème a « choqué » les organismes publics comme le CNC et la CTC (Collectivité Territoriale de Corse dans leurs cas).

Quoiqu'il en soit, ils n'abandonnent pas le projet pour autant. Au cours de ces derniers mois beaucoup de circonstances (comme par exemple, un flyer qu'ils ont distribué au Short Film Corner au dernier festival de Cannes a été publié dans le Mad-Movies n°188 (Juillet/Août)) les poussent à se battre toujours un peu plus pour l'existence de ce film, afin que Mary prenne vie, afin que le mort ne reste pas dans l'oublie.

Source : bbox-prod.com

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