Ma foi, mon Epikt, il fallait au moins quand même t'attendre à une petite flagellation pour ton insolence sur ce forum !
A ce niveau ce nest plus de la flagellation, cest de lacharnement.
Je ne vais pas flooder davantage, le reste
cest ici que ça se passe.
(désolé Maniak, on va se tirer dessus)
(désolé les autres, ça dépasse les deux lignes)
Maintenant je vais quand même répondre à Gunblast qui est bien le seul à mopposer autre chose que des complaintes ou des arguments de forme.
(SUSPIRIA aussi, mais mis à part la partie sur la série Z, cf le HS je ne vois rien à redire à ses arguments, même si je ne suis pas forcément daccord)
Après, pas du tout d'accord concernant la musique; bon dieu, Epikt, c'est Goblin ! Des nappes synthétiques envoûtantes à souhaits, un rythme tonitruant, elle occupe vraiment un point fort dans Blue Holocaust. Mais je reconnais qu'il y a cet aspect disco seventies dans les sonorités qui peut paraître ringard à certains, en tout cas, pas à moi.
Que ça soit
The Goblins ou
Chantal Goya ça me fait ni chaud ni froid.
Plus sérieusement, au delà du caractère totalement dépassé de la BO de
Blue Holocaust, il y a surtout la manière dont elle est lamentablement exploitée par
DAmato. Désolé, mais coller (y a pas dautre mot) une bande disco sur une scène de suspense trépidante ça désamorce tout.
Il y a quelques jours on a parlé de
Dawn of the dead dont
The Goblins ont aussi signé la BO. Repasse-toi rapidement les deux et tu verras la différence dans le traitement de la musique (et de lambiance sonore en général). Celui de
Romero, même sil névite pas tous les écueils du genre, est bien plus parcimonieux et réfléchi. La musique ne fait pas pièce maladroitement raportée.