Posté: 18 Juin 2006, 17:38le gus qui fera un truc pareil n'est pas encore né ! 
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L'Au-Delà - The beyond
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Posté: 18 Juin 2006, 17:38Posté: 20 Juin 2006, 21:31Tres bon film, par contre la gueule du plombier lol.
Posté: 21 Juin 2006, 07:59clair ! le plmmobier eighties sorti des prod de d'amato des années 90 !!! 
bonjour, madame, je vien reparer votre tuyauterie..... etc... etc....
bonjour, madame, je vien reparer votre tuyauterie..... etc... etc....
Posté: 06 Juillet 2006, 17:01ah je l'ai enfin vu! 
le gore et l'ambiance macabre si particulière de Fulci sont présents, ça charcle bien et on ne s'ennuie pas
Le film est très bon, avec toutefois un petit bémol: on se perd dans les méandres de cette histoire un poil trop complexe. Du coup je lui préfere Frayeurs qui est plus direct et à l'atmopshère plus soignée... (m'enfin c'est un avis perso...)
le gore et l'ambiance macabre si particulière de Fulci sont présents, ça charcle bien et on ne s'ennuie pas
Le film est très bon, avec toutefois un petit bémol: on se perd dans les méandres de cette histoire un poil trop complexe. Du coup je lui préfere Frayeurs qui est plus direct et à l'atmopshère plus soignée... (m'enfin c'est un avis perso...)
Posté: 06 Juillet 2006, 17:20Pour ma part, je dirais plutôt que Frayeurs est un - formidable - brouillon de L'Au-Delà, ce dernier demeurant l'accomplissement ultime de Fulci dans l'épouvante. 
Posté: 06 Juillet 2006, 17:41il y a autant d'atmosphère putréfiée fulciienne dans les deux films que tu cites mais la fin de "The beyond" magnifie encore plus l'oeuvre du maestro que celle - cependant dantesque et impénétrable- de "la Paura" !!!
Posté: 10 Juillet 2006, 00:12A lami Gunblast. Je ne sais toujours pas si je dois te botter le cul ou bien te remercier pour mavoir menti sur la marchandise.
Idem du Maistro, dont la dernière impression que j'ai pu avoir de lui est le très naze Enfer des zombies.
Jai vu Lau delà et ça tue.
Faut croire que quand cest bien foutu et quil y a quelquun d'inspiré aux manettes je sais apprécier le cinoche rital.
Bon cest vrai que le film est desservi par une interprétation (et/ou un doublage) assez déplorable (la voix off est chouette par contre). On note aussi quelques scènes (celle avec les araignées par exemple scène dailleurs trop longue sur le début) maladroitement accompagnées de la disco habituelle et quelques bizarreries scénaristiques un peu bancales (faire un électrocardiogramme à une momie, quelle idée).
Mais il serait dommage de trop sy attarder.
Car si la réalisation tient la route sans pour autant faire des étincelles, Lau delà brille par son extraordinaire mise en place de lambiance, grâce en particulier à une très belle photographie et une utilisation judicieuse et envoûtante de la musique (aux quelques exceptions évoquées plus haut ; et même si les ruptures sont trop abruptes à mon goût) ; on se croirait parfois dans un western de Sergio Leone.
Le film, gore mais sans jamais lêtre de manière gratuite, macabre et poétique, regorge de scènes mémorables, à commencer par cette ouverture mémorable, baroque et brutale. Mais aussi ce splendide plan en plongée sur laveugle entourée des quatre spectres (sans oublier la suite avec le chien, miam), le passage dans lhôpital infesté de zombies et que dire de la scène finale, dune désespérante beauté.
Rien que dy repenser jen ai des frissons. Un monument dhorreur gothique.
PS : par contre, jai aussi vu Jugatsu, cest moins glop (Kikujiro syndrome inside).
Idem du Maistro, dont la dernière impression que j'ai pu avoir de lui est le très naze Enfer des zombies.
Jai vu Lau delà et ça tue.
Faut croire que quand cest bien foutu et quil y a quelquun d'inspiré aux manettes je sais apprécier le cinoche rital.
Bon cest vrai que le film est desservi par une interprétation (et/ou un doublage) assez déplorable (la voix off est chouette par contre). On note aussi quelques scènes (celle avec les araignées par exemple scène dailleurs trop longue sur le début) maladroitement accompagnées de la disco habituelle et quelques bizarreries scénaristiques un peu bancales (faire un électrocardiogramme à une momie, quelle idée).
Mais il serait dommage de trop sy attarder.
Car si la réalisation tient la route sans pour autant faire des étincelles, Lau delà brille par son extraordinaire mise en place de lambiance, grâce en particulier à une très belle photographie et une utilisation judicieuse et envoûtante de la musique (aux quelques exceptions évoquées plus haut ; et même si les ruptures sont trop abruptes à mon goût) ; on se croirait parfois dans un western de Sergio Leone.
Le film, gore mais sans jamais lêtre de manière gratuite, macabre et poétique, regorge de scènes mémorables, à commencer par cette ouverture mémorable, baroque et brutale. Mais aussi ce splendide plan en plongée sur laveugle entourée des quatre spectres (sans oublier la suite avec le chien, miam), le passage dans lhôpital infesté de zombies et que dire de la scène finale, dune désespérante beauté.
Rien que dy repenser jen ai des frissons. Un monument dhorreur gothique.
PS : par contre, jai aussi vu Jugatsu, cest moins glop (Kikujiro syndrome inside).
Posté: 10 Juillet 2006, 10:44Eh bien, ça fait plaisir, mon Epikt.
Toutefois:
Là, ça fait moins plaisir. L'Enfer des Zombies est pour ma part à la hauteur de L'Au-Delà, même si pas aussi définitif, et nettement plus brut. Et autant avec Blue Holocaust, on peut comprendre ton avis, même objectivement parlant, autant L'Enfer des Zombies a toujours eu une excellente réput', que dis-je, une réputation de classique, de fleuron, une grande reconnaissance auprès des cinéphiles de genre, tout juste parfois souillée par quelques djeunz/beaufs qui se sentaient plus à l'aise devant Souviens-toi l'été dernier, Urban Legend ou Le Projet Blair Witch. Et cette reconnaissance, il l'a pas volée.
Bâtard de ta race, tu sors, t'as dit que mon film préféré était pas glop.
Plus sérieusement, j'attends d'en savoir plus sur ton impression. Mais pourtant j'étais sûr que tu aurais facilement pu bien davantage apprécier un film tel que Jugatsu par rapport à L'Au-Delà.
Toutefois:
le très naze Enfer des zombies
Là, ça fait moins plaisir. L'Enfer des Zombies est pour ma part à la hauteur de L'Au-Delà, même si pas aussi définitif, et nettement plus brut. Et autant avec Blue Holocaust, on peut comprendre ton avis, même objectivement parlant, autant L'Enfer des Zombies a toujours eu une excellente réput', que dis-je, une réputation de classique, de fleuron, une grande reconnaissance auprès des cinéphiles de genre, tout juste parfois souillée par quelques djeunz/beaufs qui se sentaient plus à l'aise devant Souviens-toi l'été dernier, Urban Legend ou Le Projet Blair Witch. Et cette reconnaissance, il l'a pas volée.
jai aussi vu Jugatsu, cest moins glop (Kikujiro syndrome inside).
Bâtard de ta race, tu sors, t'as dit que mon film préféré était pas glop.
Plus sérieusement, j'attends d'en savoir plus sur ton impression. Mais pourtant j'étais sûr que tu aurais facilement pu bien davantage apprécier un film tel que Jugatsu par rapport à L'Au-Delà.
Posté: 10 Juillet 2006, 11:05Epikt @ 10.07.2006 à 01:12 a écrit: Lau delà brille par son extraordinaire mise en place de lambiance, grâce en particulier à une très belle photographie et une utilisation judicieuse et envoûtante de la musique
ben tu vois Frayeurs c'est pareil, mais en mieux
Posté: 10 Juillet 2006, 11:23Epikt @ 10.07.2006 à 01:12 a écrit: le très naze Enfer des zombies.
SACRILEGE !!!!!!!
