I Spit On Your Grave

-> Le gros Gore qui tache et les films dégueux à vomir

Messagepar BRUNO MATEI » 01 Février 2011, 10:33

Bon ben je vais devoir réenfiler ma soutane d'avocat du diable ! ;)


LE JOUR DE LA FEMME.
En 1978, dans une mise en scène rugueuse proche du documentaire, I spit on your Grave éclabousse l'écran par son sujet brulant traité avec crudité et immortalise au passage le portrait d'une femme violentée incarnée par l'inoubliable Camille Keaton. Le réalisateur Meir Zarchi s'inspirait à la base d'un drame véridique, quand il fut témoin en 1974 qu'une femme errait nue dans un parc de New York, après s'être faite violée. Le film controversé avait à l'époque tant choqué qu'une poignée de féministes lui intentèrent un procès à tort.
13 ans plus tard, Steven Monroe s'accorde à la tâche récurrente du remake à la mode. Une seconde tentative audacieuse pour tenter de renouer avec l'ambiance malsaine d'un rape and revenge poisseux, comportant l'une des pires scènes de viol de l'histoire du cinéma, et cela même si la seconde partie sous exploitée, était beaucoup moins percutante et crédible dans ce qu'elle souhaitait avant tout dénoncer avec force abrupte et réalisme suffocant.

Une séduisante jeune femme écrivain se réunit dans un chalet en pleine forêt pour se remettre à l'écriture de son nouveau livre. Mais rapidement, une bande de marginaux champêtres qu'elle avait furtivement rencontré sur sa route se décide à lui donner une bonne correction dans un concentré d'ultra violence, d'humiliation et de viol immolé.
Mais ce qui devait aboutir à un meurtre gratuit et crapuleux va se transformer en une ignoble chasse à l'homme vindicative auquel personne ne sortira indemne.


Dans une photographie pastel et désaturée qui laisse transparaitre la clarté ensoleillée des paysages forestiers habilement exploités, ce remake tant redouté va oser se confronter au digne représentant de son modèle dans une mise en forme nécessairement brutale, rêche et sans retenue.
La sobriété de la mise en scène accordée d'une douce partition musicale discrète et craintive s'imprègne furtivement d'un climat insécurisant dans le refuge forestier d'une cabane perdue au milieu de nulle part, abritant une jeune femme brune à la beauté distinguée.
Steven R. Monroe ne va pas s'attarder à présenter un quelconque intérêt coutumier sur la banalité du quotidien paisible d'une jeune écrivain. Il rentre rapidement dans le vif du sujet, à peine 20 mns écoulées d'une potentielle menace extérieure suintant les environs de la demeure et nous entraine dans sa première heure à un éprouvant et interminable moment d'ultra violence centrée sur l'humiliation et le viol de l'héroïne sans restriction aucune.
Autant dire que l'ambiance davantage malsaine va irrémédiablement mettre le spectateur dans un état incommodant de claustrophobie tangible, de malaise déstabilisant face au calvaire enduré de la jeune victime. Tant pour les humiliations inlassablement répétées que la scène de viol durement éprouvée, brutale, difficilement supportable.
Une fois de plus, comme dans le film d'origine de Meir Zarchi, aucune complaisance n'est requise pour tenter éventuellement de se juxtaposer (ou d'en dépasser les limites) au malaise insoutenable éprouvé par le film d'origine.

Alors que la seconde partie accès sur la revanche de la femme ira encore plus loin dans l'horreur inhumaine dépassant largement les débordements sanglants du film de Meir Zarchi.
C'est cette partie habilement mise en scène et exploitée de manière anti conventionnelle qui surprend et étonne. Et cela, même si l'on sent que le tortur'porn dans l'air du temps est passé par là. Ici, les pièges concoctés n'ont heureusement rien de "divertissant", ne rivalisent pas d'ingéniosité machiavélique pour épater la galerie du spectateur voyeuriste mais s'insèrent plutôt dans une mise en forme d'authenticité brute axé sur le sadisme et la crudité pour une vengeance perfide, compromise dans les humiliations relatives intentées aux bourreaux, réciproquement inversées.
Chaque meurtre exécuté par Jennifer est imposé à sa manière sournoisement perverse et horriblement cruelle comme le bain d'acide, l'arrachage de dents, la sodomisation au fusil à pompe ou les yeux gardés grands ouverts, faisant écho à une scène anthologique dans Opéra d'Argento.
Une réactualisation du vice permettant à la femme haineuse de commettre les mêmes brimades antécédemment perpétrés à son égard pour chacun des agresseurs qui lui auront fait subir un florilège de jeux sordides d'avilissement et de perversion.

C'est Sarah Butler (A Couple of White Chicks at the Hairdresser, Flu bird Horror) qui s'impose en digne successeur de l'inoubliable femme violée revancharde, interprétée antécédemment par Camille Keaton. Un jeu habilement mesuré et déférent fondé sur la réalité de son calvaire souillé et violenté, retranscrit avec abomination et refus de concession rédemptrice. Son regard futilement sournois dénué d'aucune compassion et ses actes tous plus barbares les uns que les autres nous rend totalement désoeuvré, déconcerté, écoeuré, voir attristé d'un tel acharnement lapidaire sur ses tortionnaires réduits à l'état de chair dépravée. Car ici, les victimes terrifiées en état de marasme, agonisent, hurlent, supplient, pissent dans leur froc, vomissent et transpirent la sueur ocre.
Ces protagonistes mâles se sortent honorablement de leur prestance virile dans ce défilé de brutes sanguinaires sans aucun état d'âme voués à la bassesse humaine de la femme, l'esprit de révolte et de soumission puis enfin la perversité sexuelle.
Mention spéciale au shérif imposé par Andrew Howard, commanditaire le plus répréhensible du fait de son autorité castratrice envers ses acolytes mais aussi doublement insidieux dans son rôle presque vertueux de père de famille aimant, épris d'attention et d'affection pour sa femme ainsi que sa petite fille.
Chad Linberg dans le rôle d'attardé peut de prime abord laisser le spectateur dubitatif dans son physique stéréotypé mais sa véracité à vouloir convaincre avec dimension psychologique finit rapidement par emporter notre adhésion.
Il parvient même à retranscrire une éventuelle compassion auprès du spectateur dans sa repentance désespérée clamée devant son bourreau inflexible au dernier acte souscrit.

L'ANGE DU MAL.
Poisseux, glauque, insupportable, brutal, gore et craspec, I Spit on your Grave détonne, secoue et convoque la nausée dans son traitement radical, jusqu'au boutiste sur l'instinct bestial qui sommeille en chacun de nous.
Sa réflexion judicieuse sur la violence vindicative auquel une victime avilie se révèle encore plus monstrueuse que ses odieux agresseurs dénonce sans complaisance le caractère pitoyablement gratuit et inutile de tels actes aussi abjectes fondés sur la rancoeur et l'annihilation. Des séquences chocs radicales décrites avec une rare crudité, à contre emploi des films gores grands-guignols auquel nous n'éprouverons ici jamais un quelconque plaisir ludique à la manière des tortur'porn de Saw et consorts. Autant dire que I spit on your grave est, tout comme son modèle, le genre de film que l'on ne souhaitera pas revoir et subir de manière récurrente.
On pardonnera par contre quelques futiles facilités (la musique parfois pompeuse souhaitant souligner l'horreur du danger inopiné ou la facilité de Jennifer à s'accaparer de ces bourreaux tombant comme des mouches dans les mailles du filet) et approuver la qualité d'un remake aussi couillu, dépassant même son modèle dans une seconde partie beaucoup plus percutante qui stigmatise et boycotte les monstrueux actes décrits en dessinant le portrait éprouvé d'une justicière pathétique, définitivement engluée dans les racines du mal.
C'est vers sa présence de marbre que la caméra va s'attarder et clôturer I spit on your grave pour une image finale glaciale, mise en exergue longtemps dans notre mémoire après le générique de fin.
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Messagepar jaimelaviande » 01 Février 2011, 14:33

Boudiou... ça donne envie cette chronique!! Faut vraiment que je matte ce remake.
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Messagepar jaimelaviande » 02 Février 2011, 08:45

Vu hier soir! C'est un très bon remake, voir plutôt une relecture du film original. Car si elle en conserve les grandes lignes, cette version 2010 navigue à quelques encablures de l' originale, dans le traitement, beaucoup plus extrême (merci le torture-porn :D), ainsi que dans l'histoire elle-même: nouveau personnage, situations interverties, modifiées ou nouvelles.
Du coup chercher à comparer les deux me semble un peu inutile. On ne trouvera pas du tout la même chose dans l'une ou l'autre version, hormis cette histoire de vengeance suite à un viol.
Cette version se découpe essentiellement en deux parties très distinctes (abstraction faite des 20 premières minutes de mise en place). Une première particulièrement désagréable dans laquelle on assiste aux sévices infligées à la jeune femme, et une deuxième au cours de laquelle ces messieurs vont prendre (très) cher...
Par rapport à l'original il manque effectivement la partie "reconstruction" de la victime, ce qui à son importance. On perd un peu de l'aspect psychologique, et de l'empathie que l'on éprouvait pour la victime dans la première version. On sent que cette version à d'autre préoccupations... Il faut choquer, brutaliser, faire concis et efficace dans le :sick: . Et il faut reconnaître que c'est réussi! Accrochez vous c'est le grand huit du macabre!!
Pour faire simple, il faut apprécier ce film pour ce qu'il est: un hommage sincère à l'original, nettement plus bourrin et plus pessimiste aussi. SPOILER: Mrs Hills récupère la cassette qui est une preuve formelle de ce qu'elle à vécu... Elle a le choix entre la justice et la vengeance et choisi la vengeance. Il ne peut donc y avoir de repentance pour personne. Les frontières entre bourreau et victime s'effacent d'elle même face à la violence des actes commis SPOILER: Les dernières paroles du shériff résonnent alors comme une horrible prémonition des choses à venir...
Bon je vais pas en faire des tonnes: Pour les bourrins, viandars et autres camés aux péloches qui piquent: La version 2010, pour les historiens: celle de Zarchi! A chacun de choisir son camp.
:devil:
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Messagepar BRUNO MATEI » 02 Février 2011, 17:25

Pertinente ta critique jaimelaviande, j'approuve totalement et tu as bien fait de relever l'aspect psychologique de la jeune femme et sa reconstruction (j'aurai du en parler dans ma critique) dénaturé dans ce remake.
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Messagepar ottorivers » 03 Février 2011, 09:47

Le truc c'est qu'à chaque fois ce genre de remake ne peut être comparé à l'original.

Tout d'abord ils coutent beaucoup plus cher et sont fait par des studios, alors que tout ces petits films étaient fait sans le sous par des équipes réduites.
Parfois même le réalisateur occupait divers postes et les acteurs n'en étaient pas vraiment, ce qui forcément donne des défauts au final mais est grandement respectable au vu du résultat final.
Sans parler de la technologie qui a évoluée et on corrige l'image avec n'importe quel logiciel de base en ce qui concerne la photo pâr exemple, ce qui n'était pas faisable à l'époque. Donc rien d'épatant la dedans.

Ce n'est pas pour rien si ils sont restés dans l'inconscient des fans toutes ces années.

Par conséquent un bon remake devrait actualiser uniquement l'histoire en tentant de rendre ce qui a fait la force de son modèle, quitte à changer quelques trucs et à éliminer les défauts.

Hélas tout ceci n'étant que de vastes projets mercantiles organisés par des producteurs peu scrupuleux, le résultat est souvent assez basique et ne rend pas hommage au travail de l'équipe de départ.

Il ne faut pas rêver ce ne sont pas des réalisateurs amoureux du genre qui décident mais bien les producteurs qui forcent ceux ci à faire un remake en utilisant un titre connu afin d'exploiter l'exploitation.

Alors je suis intrisigenat sur le résultat de tout ces machins boursouflés destiné à nous soutirer notre thune si on se fout trop de notre gueule.

Celui ci ne fait pas exception même si ce n'est pas le pire, mais bon les rape/revenge, tout comme les slashers sont basés sur des scénarios simplistes et il y en a des centaines donc pourquoi ne pas encore en faire d'autres plutôt que de réutiliser des titres connus en les dénaturant juste pour une question de pognon?

$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ Rule the World
:sick:

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Messagepar jaimelaviande » 03 Février 2011, 10:52

Bien le merci Bruno ;) !
@Otto: "un bon remake devrait actualiser uniquement l'histoire en tentant de rendre ce qui a fait la force de son modèle, quitte à changer quelques trucs et à éliminer les défauts."
Pour moi la seule force force du modèle en question était de vouloir placer le spectateur face à ses pulsions voyeuristes (comme souvent dans le cinoch extrême), et ce grâce à différentes scénes chocs. Ici le contrat me semble plutôt rempli quand à l'actualisation de ces fameuses scènes...
Pour l'élimination des défauts c'est pareil, on évite les plans complètement foireux dans l'ancienne version du gars qui va nager sur l'hélice du bateau par exemple, ou encore celui qui nous fait la danse de singui derrière la victime en voulant faire passer ça pour une insupportable scène de viol etc... Les équipes de l'époque bossaient artisanalement et faisaient du bon boulot y'a pas de soucis, mais je vois pas en quoi un remake, quand il est bon (ce qui est rare je te l'accorde) et réalisé correctement avec les outils de maintenant, doit être descendu systématiquement.
J'accroche beaucoup plus à ce remake qu'à un truc censé être nouveau et super hardcore genre Hostel, qui pour le coup ne ressemble à que dalle et est clairement là pour engranger de la caillasse et faire peur aux collègiennes. Parfois c'est dans les vieilles marmittes... :)
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Messagepar Mindy Clarke » 07 Février 2011, 13:04

Bon, comme d'habitude, je spoile hein...

Je ne vais pas répéter ce qui a été dit, mais je partage très bien l'avis de Bruno Matei et de jaimelaviande.
Je connais très bien l'histoire, ce qu'il y a autour de Day of the Woman, mais je ne l'ai point encore vu (c'est une questions de jours), j'ai juste vu le "remake" d' Eric Stanze (un de mes réals Uncut M. préféré) "I piss on your Grave" qui est très.... :D ...
Bref, je m'attendais à un film plutôt fade comme le remake de la dernière maison sur la gauche, et non bordel j'ai été glauquement (= agréablement) surprise!
Déjà je me suis attaché au personnage de Sarah Butler, la petite écrivain, toute mimi, simplement sympa, et qui est quand même assez connement naive pour venir se perdre au fond des bois dans un village de redneck... Puis vient l'émotion assez dérangeante mais plaisante (euh plaisante car la scène est réussie, pas que je sois une psychopate avide de déviance visuelle, quoique....) de la scène de viol par l'attardé, qui est comme possédé pendant son dépucelage, perdant toute compassion et terreur dans son regard et dans ses actes. Une fois terminée, je me vois assez soulagée naivement en soufflant un "Tiens je pensais qu'ils allaient tous te passer dessus, bon t'as de la chance, maintenant venge toi!" et non...à peine trente secondes passées, rebelote, (re)humiliations et (re)viols, tout en gardant cette ambiance malsaine (que j'aime tant) qu'on en vient à vouloir tuer de nos propres mains cette équipe de bouseux.


4- On ne la voit pas se remettre du viol, ce qui était important pour réaliser à quel point ce qu'elle avait subie est atroce.
Elle tombe dans l'eau et réapparait comme par magie, impeccable, quelques jours plus tard, assome tout le monde facilement et les transporte chez elle pour se venger. Ce qui est très, très con.



C'est vrai que le coup de "je me jette à l'eau et reste introuvable pendant un mois" , est un peu dérangeant (pas dans le bon sens du terme), par contre le " j'arrive à assomer et transporter" je trouve pas ça non crédible! Qu'est ce que t'insinues? Nous les femmes ont est des petites natures?? Trop faible?? Day of the Woman, ne t'as donc rien appris??!!! :D

Cette deuxième partie, la Vengeance, je l'ai trouvé plutôt jouissive, on attend que ça putain!!! De la torture, qu'ils souffrent, bute les ces enculés!!! J'ai même secrètement espéré une bonne castration dans les règles, et je l'ai eu, avec un bonus bien en bouche.... Chaque acte de cette deuxième partie est des plus jubilatoire et egalement originale, je m'attendais simplement à quelques égorgements et poignardements et à la place on m'a servi de l'inventivité. (Je ne dis pas non plus que ça n'a jamais été fait, ni, que c'est ce que j'ai vu de mieux en la matière)
Mais en bref j'ai beaucoup aimé ce Remake, j'y ai pris mon pied et j'ai ressenti ce que je voulais ressentir devant ce genre de film.
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Messagepar lirandel » 07 Février 2011, 18:49

Les avis dix verges...et c'est tant mieux .


Bref, je m'attendais à un film plutôt fade comme le remake de la dernière maison sur la gauche, et non bordel j'ai été glauquement (= agréablement) surprise!



Mais qu'entends tu par fade exactement ...car moi ce mot était non seulement sur l'actrice , dont je trouvais qu'elle faisait en dessous du minimum syndical , mais cela est une question de gout et cela ne se discute pas.
Mais surtout sur le directeur de la photo dont je bisses le travail dégueulasse.
et la propension du réal à tourner comme le font à la chaine toute une industries de jeunes réalisateurs formatés...
je veux dire par là , qu' il n'est pas remarquable au sens artistique, comme d'autres peuvent l'être au premier coup d'oeil.

quant au reste , les scènes FX du premier dans la rivière sont dépassées aujourd'hui , mais coller en rapport des scènes allouées à la reprise de conscience de l'héroine, au final je trouve l'ensemble plus crédible..

La scène de coupage de queue dans la baignoire en plan large du premier reste plus réaliste et plus tragique que des cut -scènes ou l'on ne voit que dalle.
Le sang et la couleur du remake sont inopérents à ce niveau là.

Pour faire de la magie , il faut un magicien...ce tour de passe passe m'est passé au dessus de la tête...

Mais je comprends tout à fait qu'il est pû plaire...

toutes les analyses sont bonnes à prendre.


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Messagepar ottorivers » 07 Février 2011, 19:40

Pour les fans il y avait eu une suite plus ou moins officielle à l'original, avec Camille Keaton en cameo. Une version bien Z et pourrie, mais on peut y prendre du plaisir: :P :P

Savage Vengeance (1993) aka I SPIT ON YOUR GRAVE 2
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Messagepar ottorivers » 07 Février 2011, 19:46

Une version Japonaise


Akuma no ejiki: sâdo baiburêshon (2005)

aka "I Spit on Your Remains" :P

Le site du film:
http://www.jvd.ne.jp/hr/akumano3.html
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