Commerce de peaux de chats
la Suisse au coeur du trafic !
Lappel a été lancé, début septembre, par lassociation SOS Chats de Noiraigue, en Suisse, et il concerne le commerce de peaux de chats en Suisse et lexportation, illicite, de ces peaux dans plusieurs pays européens
dont la France !
Téléchargez la pétition de SOS chats (Suisse) et faites la signer svp ! (PDF)
La réaction de la Fondation Brigitte Bardot a été immédiate et lappel de notre Présidente à la Présidente de la Confédération suisse à fait la une dun grand quotidien. Dans cet appel, Brigitte Bardot précise : « En France, ma Fondation sest battue pendant près de 10 ans avant dobtenir, en janvier 2006, un arrêté interdisant « lintroduction, limportation et la commercialisation » de peaux de chiens et de chats. Vous le savez, lUnion européenne devrait adopter, dans les tout prochains jours, un règlement qui interdira « la mise sur le marché, limportation et lexportation des fourrures de chats et de chiens ». La Suisse, géographiquement au coeur de lEurope, ne doit surtout pas sisoler, devenir la plaque tournante de ce commerce de la mort et de la souffrance. »
Peaux de chats introduites en France
La Fondation Brigitte Bardot est également intervenue auprès des ministres de lAgriculture et de lÉconomie pour que la France soutienne le nouveau règlement européen visant à interdire le commerce des peaux de chats et de chiens dans tous les États membres et quelle se rapproche de la Suisse afin que ce pays adopte une réglementation similaire.
Contre le commerce de toutes les fourrures
Bien sûr, notre combat ne se limite pas aux seules fourrures de chats et de chiens car, comme lécrit Brigitte Bardot dans sa lettre à la Présidente de la Confédération suisse, « toute production de fourrure, quelle que soit lespèce, me révolte également car le martyr danimaux sauvages élevés intensivement dans des hangars, enfermés dans des cages, ou bien piégés dans la nature, ces millions danimaux gazés, électrocutés, parfois écorchés vifs pour un « luxe » cruel, inutile, tout cela mécoeure et me scandalise. »
Source Fondation Brigitte Bardot