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MessagePosté: 02 Octobre 2005, 12:58
par darquos
Que ce soit bien clair : CE FILM EST FORT AGREABLE A REGARDER :)

MessagePosté: 02 Octobre 2005, 15:19
par The Trooper
CITATION (Mindy Clarke @ mercredi 14 avril 2004, 11:07)
ça fait 1 mois que j'ai le dvd dans mon tiroir à sous-vêtement, je ne l'ai toujours par vue...faut que j'y pense :lunette:

moi non plus, je n'ai toujours pas vu ton tiroir..... :D :joues rouges:

MessagePosté: 02 Octobre 2005, 15:25
par YoUtH
CITATION
ca courrait pas les rues les films de cannibals à ce moment là


Humm pas d'accords, il y a eu un forte période Italienne qui etais partie dans cette vague de film de Cannibal.

MessagePosté: 02 Octobre 2005, 18:39
par Maniak
CITATION (Epikt @ dimanche 02 octobre 2005, 12:38)
Comme je le dis dans ma critique

comment il fait sa pub le Epikt!!! :D

MessagePosté: 02 Octobre 2005, 18:41
par Killjoy
CITATION (darquos @ dimanche 02 octobre 2005, 13:58)
Que ce soit bien clair : CE FILM EST FORT AGREABLE A REGARDER :)

idem pour moi, ya de la nana, ya du gore, de la coke, non là je déconne !!! :wacko: :wacko: :wacko: :wacko:

MessagePosté: 02 Octobre 2005, 20:53
par Epikt
CITATION (Maniak @ dimanche 02 octobre 2005, 19:39)
comment il fait sa pub le Epikt!!! :D

Et encore t'as pas lu le tread sur Tetsuo ! B)
Quand je pense que je suis même pas payé ! C'est trop injuste (Calimero syndrome)



Killjoy > mort de rire ! :D

MessagePosté: 17 Février 2006, 22:33
par Sir Gore
Alors que Ruggero Deodato véhiculait clairement un message sociologique dans Cannibal Holocaust, Umberto Lenzi, lui, préfère redimensionner le tout en un petit film d'aventures exotiques sans prétention, presque banal, négligeant plus ou moins le potentiel de réflexion culturelle qu'il aurait eu matière à développer, mais doté d'une mise en scène nerveuse, de scènes-chocs redoutables, ainsi que d'une bande-son efficace (petit coup de coeur envers le morceau du générique, composition Disco rythmée et savoureusement Funky).

L'interprétation globale se classe dans la parfaite moyenne du genre - on a vu pire, on a vu mieux -, excepté Giovanni Lombardo Radice (John Morghen), particulièrement convaincant et impliqué dans son rôle de trafiquant de drogue devenu fou.

Dans le rayon des points faibles, l'on notera les semptiernels sévices véridiques sur les animaux, ces derniers s'avérant toutefois un tantinet moins cruels que ceux de Cannibal Holocaust, mais au demeurant totalement dispensables, malsains et gratuits; aussi, le film témoigne de certaines baisses de régime et de rythme lors de son derniers tiers.

Les effets spéciaux Gore qui assirent la réputation de Cannibal Ferox résument au final à eux seuls le caractère vraiment dérangeant de l'oeuvre de Lenzi. Il est clair que les atrocités jalonnant le métrage sont loin de faire dans la dentelle: les énucléation dégueulasse, mutilations diverses et autre festin cannibale on ne peut plus explicite se voient couronnés par une castration en gros plan, un monstrueux scalp en plan vertical, et, par-dessus tout, l'agonie d'une jeune femme suspendue par les seins à l'aide de crochets (avec un zoom sur l'accrochage de l'un des seins); assurés par Gino De Rossi, ces maquillages morbides se révèlent d'un réalisme parfois impressionnant, et là où Deodato ne s'attardait pas spécialement sur l'esthétique Gore au sens propre de son film, Lenzi, lui, à l'inverse, fonde en quelque sorte les bases du « Gore pornographique », où la violence graphique n'a désormais plus la moindre limite. Par conséquent, la fameuse interdiction de la bande dans trente-et-un pays lors de sa sortie se voit justifiée.

En conclusion, une honorable série B d'aventures, dont les inserts d'extrême Gore en contradiction avec la tonalité plutôt légère de l'ensemble suffisent à en faire un petit classique du genre, malgré ses évidentes maladresses.

7/10